Comme vous le savez sans doute déjà, La Grande Marche édition 2021 est en cours de préparation. Il s’agira d’une marche de La Hague à Paris avec des conférences tous les soirs sur le nucléaire et la transition énergétique. 
Une des grandes différences avec l’édition 2018 sera notre passage en Seine Maritime. Afin que celui-ci soit réussi, nous partons tester cette année les nouvelles étapes de l’itinéraire. Ainsi, vous pouvez noter la date suivante:
Mercredi 12 août 2020 à 17hRéunion en présentiel à Rouen pour discuter des comités d’accueil et des étapes en Seine Maritime et dans l’Eure pour l’Edition 2021. Le lieu de la réunion est à confirmer. Si vous ne pouvez y être mais que cela vous intéresse, vous pouvez nous envoyer un mail pour que nous en discutions.
Vous pouvez également si vous le souhaitez nous accompagner cette année pour tester les nouveaux parcours. Il s’agit là de marcher en rando avec sac sur le dos sans accompagnement (contrairement à l’année prochaine où le bus bio nous accompagnera).
Il n’y aura pas de difficultés à se ravitailler dans les grandes villes mais il sera nécessaire de porter des aliments sur certaines étapes.
Voici notre parcours. Attention les dates pour le test 2020 ne correspondent pas aux dates 2021. Il y a une petite semaine de décalage. 
Les rendez-vous du matin sont à 10h00 au lieu d’hébergement où l’on a dormi sauf si une autre indication est spécifiée.
Samedi 1 août 2020 – Rendez vous à l’entrée du Camping de la Plage, 109 Avenue Michel d’Ornano à Blonville-sur-Mer à 10h30. Marche de Blonville à Trouville  Camping du Chant des Oiseaux, 11 Route de Honfleur à Trouville 

Dimanche 2 août 2020 – Marche de Trouville à Honfleur Camping du phare, Boulevard Charles V à Honfleur

Lundi 3 août 2020 – Marche de Honfleur au Havre Hébergement à voir avec nous
Mardi 4 août 2020 – Rendez-vous devant la mairie du Havre à 10h00Marche du Havre à Hermeville Hébergement à voir avec nous    
Mercredi 5 août 2020 – Rendez-vous devant la mairie de Hermeville à 10h00
Marche de Hermeville à Fécamp
Camping de Reneville, Chemin de Nesmonds à Fécamp

Vendredi 7 août 2020 Marche de Fécamp à Veulettes sur Mer
Camping la Maison du Campeur, 8 rue de Greenock à Veulettes sur Mer

Samedi 8 août 2020 Marche de Veulettes sur Mer à Paluel puis à Cany Barville
Camping Le Clos des Charmilles, 15 route de Barville à Cany-Barville

Dimanche 9 août 2020 Marche de Cany-Barville à Flamanville (étape de 26km!)
Camping à la Ferme de Flamanville, 21 rue Verte à Flamanville (dans le 76!)

Lundi 10 août 2020 Marche de Flamanville à Roumare
Camping les Nénuphars, 765 route des deux tilleuls à Roumare

Mardi 11 août 2020 Marche de Roumare à Malaunay puis à Rouen
Hébergement à voir avec nous

Jeudi 13 août 2020 Rendez-vous à 10h00 devant la mairie de Rouen
Marche de Rouen à Igoville
Camping les Terrasses, 2 Rue de Rouen, à Igoville

Vendredi 14 août 2020 Marche d’Igoville à Louviers
Il se peut que certains points de rendez-vous changent légèrement, donc n’hésitez pas à nous faire signe si possible la veille si vous souhaitez nous joindre à nous, soit à l’adresse mail nucleaireenquestions@gmail.com soit en nous appelant au 06 08 43 46 11.

C’est parti !
La préparation de la grande marche Edition 2021 a débuté ce matin samedi 1er août 2020. Première petite étape Blonville-Trouville 7 km.
À Deauville, nous avons joué les stars de la transition énergétique sur les planches.
Sur le reste du parcours, nous avons fait deux belles rencontres.
Un cycliste avec un projet alternatif en Auvergne d’un village autonome basé sur la filière textile du chanvre.
Une trouvillaise inquiète de la montée des eaux à venir avec le réchauffement climatique et la disparition de crevettes grises sur la Côte Fleurie pour la pêche, révélatrice de l’érosion de la biodiversité à l’échelle planétaire.

Adhésion

Notre association Nucléaire en Questions a pour objectif d’organiser une information sur la transition énergétique, et sa faisabilité d’ici 2050 en questionnant clairement la cohérence du modèle du nucléaire.

Notre méthode d’action est de mettre en lumière les associations qui agissent dans le domaine de la transition énergétique et/ou qui questionnent le nucléaire.

Les mini camps et universités d’été citoyennes de 2023 sont axés sur le nucléaire et la transition énergétique avec pour but de mettre en lumière la faisabilité de la transition énergétique avec une diminution de la consommation finale, 100 % de renouvelable et l’urgence de sortir du nucléaire.

Pour cela nous avons besoin de votre aide dès maintenant. La cotisation n’est que de 10 euros.

Votre aide nous est vraiment précieuse. Vous pouvez adhérer soit en ligne en complétant le formulaire ci-dessus soit par voie postale en imprimant le pdf ci-après et en nous l’envoyant à Nucléaire en Questions, 2 rue Thibout de la Fresnaye, 14000 Caen avec un chèque à l’ordre de Nucléaire en Questions.

 

Tout d’abord, il existe déjà des solutions de stockage de l’électricité avec une capacité de stockage de moyen terme (supérieur à plusieurs heures) de plus de 5GW. 

Il existe aussi des solutions de stockages inférieurs à 15 minutes (les volants d’inertie).

Ces capacités de stockage sont pour certains experts suffisants jusqu’à ce qu’on arrive à 30% d’énergies renouvelables dans la part d’électricité produite. On est aujourd’hui à 23%.

Pour aller plus loin, il faut comprendre deux techniques.

Les Steps : C’est le principe du barrage avec une étendue d’eau en hauteur et une étendue d’eau plus bas. Lorsqu’on souhaite stocker l’électricité, on l’utilise pour faire remonter l’eau. Quand on souhaite utiliser l’électricité, on la régénère en la faisant redescendre. Ces steps représentent la solution de stockage la plus utilisée. Des développements technologiques pourraient la rendre encore plus fréquente. Par exemple, l’observatoire des énergies renouvelables parlait en 2018 du potentiel des carrières abandonnées à cet effet. Ainsi, des micro-Steps pourraient permettre une offre locale de l’électricité incluant le stockage.

Le Power to Gas : Il s’agit d’arrêter de réfléchir en terme d’électricité, et de ne plus raisonner qu’en terme d’énergie. On peut convertir l’électricité en gaz naturel qui est facile à stocker (c’est la méthanation à ne pas confondre avec la méthanisation qui est la production de gaz naturel à partir de la dégradation de déchets organiques, autre source de production d’énergie, mais qui n’est pas une solution de stockage). On peut alors soit utiliser ce gaz naturel, dans les réseaux de gaz existants soit le reconvertir en électricité. 

Des questions se posent alors sur l’utilisation des réseaux de gaz naturel par les compagnies d’électricité et sur la création de circuits fermés, actuellement à l’état de projet pour réutiliser le CO2 qui s’échappe lorsque le gaz naturel est utilisé afin de le reméthaniser, sans aucune production alors de gaz à effet de serre.

Il est important de comprendre qu’en terme d’énergies renouvelables et de stockage, on est en 2019 là ou on en était à la fin des années 80 avec les ordinateurs. Faudrait-il pour autant arrêter les projets?

Sans cesse, il ne s’agit en fait que de limites qui sont de l’ordre de seuil de rentabilité non-atteint ou de dépôt de projets qui sont pris dans une certaine lenteur administrative, en partie justifiée. Une véritable volonté politique est nécessaire.

Néanmoins si le coût du stockage est trop élevé, il se peut qu’on lui préfère un excédent de production.


Les 16 objections les plus fréquentes à la transition énergétique vers 100 % d’énergies renouvelables

1. On ne peut pas se passer du nucléaire.

2.  On va être obligé de rouvrir des centrales au charbon comme en Allemagne.

3. Oui, mais les éoliennes blessent ou tuent des animaux (oiseaux, chauve-souris…) et perturbent la biodiversité.

4. On ne peut quand même pas avoir des éoliennes partout sur le territoire (Ça détruit le paysage et ce n’est pas esthétique).

5. Les grands parcs éoliens peuvent aussi participer à la destruction de parcs naturels ou participer à la destruction d’environnements.

6. Les panneaux photovoltaïques sont produits en Chine ce qui cause de la pollution (transport).

7. La France n’est pas capable de mener des projets d’énergie renouvelable (Réf : Projet d’hydrolienne au raz Blanchard dans la Manche).

8. Les éoliennes et les panneaux photovoltaïques n’assurent pas une production d’énergie électrique constante

9. L’électricité ne peut être stockée d’où l’intérêt du nucléaire car la production peut être contrôlée en fonction de la consommation ce qui n’est pas le cas pour le renouvelable.

10. La fusion nucléaire, nucléaire de l’avenir, est propre et ne produit pas de déchets nucléaires.

11. Le nucléaire n’émet pas de Gaz à Effet de Serre (GES).

12. Les panneaux photovoltaïques et les éoliennes utilisent des terres rares

13. Ce qu’il faut, c’est diminuer la consommation d’électricité, et ça on en n’est pas capable.

14. Si on supprime le nucléaire, cela impliquera le chômage des salariés du nucléaire.

15. On exporte aujourd’hui notre électricité.

16. Il se peut que vous ayez une autre remarque.

Nous pouvons distinguer les énergies faibles en CO2 (éolien, photo-voltaïque, biomasse, nucléaire) des énergies fossiles. 

Pour le nucléaire, l’émission de CO2/ KWH serait de 6g si l’on accepte les chiffres les plus bas (ceux d’EDF). Elle est de 12g pour le GIEC. Il reste néanmoins de réelles sources d’ombre sur les émissions réelles sur toutes les étapes de la production (construction du réacteur, extraction, traitement et transport du minerai, transports et gestions des déchets) et en particulier sur la fin de vie du réacteur. 

L’émission de CO2/KWH n’est que de 12g pour l’éolien et de 30g pour le solaire photovoltaïque. (chiffres sans zones d’ombre).

Il s’agit de regarder l’image dans sa totalité. En effet les panneaux photovoltaïques et les éoliennes ne sont pas productrices de déchets ayant une vie supérieure à la vie humaine sur terre. 

Il est à noter que l’émission de CO2/KWH dans le mix électrique français en 2016 était de 82 g (Réf. Paul Néau). Les chiffres des énergies renouvelables sont sans comparaison avec les 418g des centrales à gaz, des 730g des centrales à fioul ou des 1058g des centrales à charbon.

De plus si la France décide de reconstruire des EPRs et de réhabiliter les plus anciens réacteurs, ce sera à ce moment là qu’aura lieu l’émission de CO2 la plus importante. L’EPR de Flamanville dont la construction a commencé en 2007 ne pourra pas être mis en fonction avant 2022 (date assez irréaliste). Notons que le couvercle devrait en être changé avant 2024! Dans ce cas, nous avons une émission de CO2 sans production…


Les 16 objections les plus fréquentes à la transition énergétique vers 100 % d’énergies renouvelables

1. On ne peut pas se passer du nucléaire.

2.  On va être obligé de rouvrir des centrales au charbon comme en Allemagne.

3. Oui, mais les éoliennes blessent ou tuent des animaux (oiseaux, chauve-souris…) et perturbent la biodiversité.

4. On ne peut quand même pas avoir des éoliennes partout sur le territoire (Ça détruit le paysage et ce n’est pas esthétique).

5. Les grands parcs éoliens peuvent aussi participer à la destruction de parcs naturels ou participer à la destruction d’environnements.

6. Les panneaux photovoltaïques sont produits en Chine ce qui cause de la pollution (transport).

7. La France n’est pas capable de mener des projets d’énergie renouvelable (Réf : Projet d’hydrolienne au raz Blanchard dans la Manche).

8. Les éoliennes et les panneaux photovoltaïques n’assurent pas une production d’énergie électrique constante

9. L’électricité ne peut être stockée d’où l’intérêt du nucléaire car la production peut être contrôlée en fonction de la consommation ce qui n’est pas le cas pour le renouvelable.

10. La fusion nucléaire, nucléaire de l’avenir, est propre et ne produit pas de déchets nucléaires.

11. Le nucléaire n’émet pas de Gaz à Effet de Serre (GES).

12. Les panneaux photovoltaïques et les éoliennes utilisent des terres rares

13. Ce qu’il faut, c’est diminuer la consommation d’électricité, et ça on en n’est pas capable.

14. Si on supprime le nucléaire, cela impliquera le chômage des salariés du nucléaire.

15. On exporte aujourd’hui notre électricité.

16. Il se peut que vous ayez une autre remarque.

L’idée reçue est que la fusion nucléaire est un projet parfait. Il s’agirait non pas de fissurer l’atome obtenant un résultat instable et créant des déchets nucléaires pour la durée de cette instabilité, mais de fusionner des atomes créant une molécule stable et donc sans déchet nucléaire. 

En réalité, ce n’est pas vrai. La fusion utilise du tritium qui est radioactif et doit être produit par des réacteurs nucléaires classiques. Il est aussi question d’essayer de produire le tritium sur place, à partir de la fusion, mais ce n’est pas encore gagné. 

La fusion produit des neutrons qui vont irradier tout ce qui entoure le réacteur. Les matériaux capables de résister sont encore à concevoir. De plus, à quelle fréquence faudra-t-il les remplacer?

Bref, la fusion, si on arrive à la faire fonctionner pour produire de l’électricité (l’ITER de Cadarache ne produira rien), ne générera pas autant de déchets que la fission, mais en générera… (Réf. David Boilley, ACRO)

Les chinois disent avoir atteint une température de 100 millions de degrés. Toutefois, il faut encore maintenir cette température sans risque, arriver à la canaliser et produire la réaction de fusion espérée. De plus, la fusion arriverait trop tard par rapport aux enjeux de la transition énergétique. Le réchauffement climatique relève de l’urgence.

Quand à la fusion froide, à température ambiante, elle a été soi-disant obtenue en 1989, mais rien n’a jamais été constatée. Nous en resterons là.

La fusion n’a pas encore produit 1 MW. L’urgence est d’investir massivement dans les énergies renouvelables.


Les 16 objections les plus fréquentes à la transition énergétique vers 100 % d’énergies renouvelables

1. On ne peut pas se passer du nucléaire.

2.  On va être obligé de rouvrir des centrales au charbon comme en Allemagne.

3. Oui, mais les éoliennes blessent ou tuent des animaux (oiseaux, chauve-souris…) et perturbent la biodiversité.

4. On ne peut quand même pas avoir des éoliennes partout sur le territoire (Ça détruit le paysage et ce n’est pas esthétique).

5. Les grands parcs éoliens peuvent aussi participer à la destruction de parcs naturels ou participer à la destruction d’environnements.

6. Les panneaux photovoltaïques sont produits en Chine ce qui cause de la pollution (transport).

7. La France n’est pas capable de mener des projets d’énergie renouvelable (Réf : Projet d’hydrolienne au raz Blanchard dans la Manche).

8. Les éoliennes et les panneaux photovoltaïques n’assurent pas une production d’énergie électrique constante

9. L’électricité ne peut être stockée d’où l’intérêt du nucléaire car la production peut être contrôlée en fonction de la consommation ce qui n’est pas le cas pour le renouvelable.

10. La fusion nucléaire, nucléaire de l’avenir, est propre et ne produit pas de déchets nucléaires.

11. Le nucléaire n’émet pas de Gaz à Effet de Serre (GES).

12. Les panneaux photovoltaïques et les éoliennes utilisent des terres rares

13. Ce qu’il faut, c’est diminuer la consommation d’électricité, et ça on en n’est pas capable.

14. Si on supprime le nucléaire, cela impliquera le chômage des salariés du nucléaire.

15. On exporte aujourd’hui notre électricité.

16. Il se peut que vous ayez une autre remarque.

C’était le cas dans le passé. Toutefois, aujourd’hui les éoliennes de deuxième et troisième génération sont construites sans terres rares. 

Les terres rares sont des éléments qui ne sont pas rares en soi, mais dont la concentration est faible dans les minerais dont ils sont extraits. Leur extraction est de fait polluante. Il en est de même pour les batteries électriques des voitures. Nombre d’entre elles n’utilisent plus aujourd’hui de terres rares.

Pour ce qui est des panneaux photovoltaïques, leur utilisation de terres rares est largement exagérée. De l’argent, du bore ou de phosphore qui ne sont pas des terres rares peuvent être utilisées en très faibles quantités pour augmenter la connectivité. 

Rappelons que le recyclage des panneaux photovoltaïques est de plus de 95% et que celui des éoliennes est supérieur à 90%. Le recyclage des pales est le plus problématiques mais certaines sociétés ont à présent mis en place des solutions et leur recyclage est une entreprise rentable.


Les 16 objections les plus fréquentes à la transition énergétique vers 100 % d’énergies renouvelables

1. On ne peut pas se passer du nucléaire.

2.  On va être obligé de rouvrir des centrales au charbon comme en Allemagne.

3. Oui, mais les éoliennes blessent ou tuent des animaux (oiseaux, chauve-souris…) et perturbent la biodiversité.

4. On ne peut quand même pas avoir des éoliennes partout sur le territoire (Ça détruit le paysage et ce n’est pas esthétique).

5. Les grands parcs éoliens peuvent aussi participer à la destruction de parcs naturels ou participer à la destruction d’environnements.

6. Les panneaux photovoltaïques sont produits en Chine ce qui cause de la pollution (transport).

7. La France n’est pas capable de mener des projets d’énergie renouvelable (Réf : Projet d’hydrolienne au raz Blanchard dans la Manche).

8. Les éoliennes et les panneaux photovoltaïques n’assurent pas une production d’énergie électrique constante

9. L’électricité ne peut être stockée d’où l’intérêt du nucléaire car la production peut être contrôlée en fonction de la consommation ce qui n’est pas le cas pour le renouvelable.

10. La fusion nucléaire, nucléaire de l’avenir, est propre et ne produit pas de déchets nucléaires.

11. Le nucléaire n’émet pas de Gaz à Effet de Serre (GES).

12. Les panneaux photovoltaïques et les éoliennes utilisent des terres rares

13. Ce qu’il faut, c’est diminuer la consommation d’électricité, et ça on en n’est pas capable.

14. Si on supprime le nucléaire, cela impliquera le chômage des salariés du nucléaire.

15. On exporte aujourd’hui notre électricité.

16. Il se peut que vous ayez une autre remarque.

Nous sommes en période de transition énergétique. Celle-ci est rapide à certain moment et les évolutions technologiques et légales sont normales. Donc si vous avez une autre question, n’hésitez pas.

vous pouvez nous écrire sur:

nucleaireenquestions@lagrandemarche.org

ou simplement remplir le formulaire de contact


Les 16 objections les plus fréquentes à la transition énergétique vers 100 % d’énergies renouvelables

1. On ne peut pas se passer du nucléaire.

2.  On va être obligé de rouvrir des centrales au charbon comme en Allemagne.

3. Oui, mais les éoliennes blessent ou tuent des animaux (oiseaux, chauve-souris…) et perturbent la biodiversité.

4. On ne peut quand même pas avoir des éoliennes partout sur le territoire (Ça détruit le paysage et ce n’est pas esthétique).

5. Les grands parcs éoliens peuvent aussi participer à la destruction de parcs naturels ou participer à la destruction d’environnements.

6. Les panneaux photovoltaïques sont produits en Chine ce qui cause de la pollution (transport).

7. La France n’est pas capable de mener des projets d’énergie renouvelable (Réf : Projet d’hydrolienne au raz Blanchard dans la Manche).

8. Les éoliennes et les panneaux photovoltaïques n’assurent pas une production d’énergie électrique constante

9. L’électricité ne peut être stockée d’où l’intérêt du nucléaire car la production peut être contrôlée en fonction de la consommation ce qui n’est pas le cas pour le renouvelable.

10. La fusion nucléaire, nucléaire de l’avenir, est propre et ne produit pas de déchets nucléaires.

11. Le nucléaire n’émet pas de Gaz à Effet de Serre (GES).

12. Les panneaux photovoltaïques et les éoliennes utilisent des terres rares

13. Ce qu’il faut, c’est diminuer la consommation d’électricité, et ça on en n’est pas capable.

14. Si on supprime le nucléaire, cela impliquera le chômage des salariés du nucléaire.

15. On exporte aujourd’hui notre électricité.

16. Il se peut que vous ayez une autre remarque.

Oui, il faut faire attention à notre consommation. Toutefois, on voit aujourd’hui se multiplier les panneaux publicitaires lumineux, les vélos électriques, les trottinettes électriques.

Nous vivons dans une économie mondialisée qui repose sur la consommation d’énergie fossile, avec des ressources de pétrole, de charbon et de gaz limitées. Nous avons besoin de réduire notre consommation parce que ces ressources sont limitées et parce qu’elles sont émettrices de gaz à effet de serre.

De plus, notre système est profondément inégalitaire – 20 % de la planète consomme 80 % de ses ressources.

En France, nous nous sommes engagés à tenir trois objectifs d’ici 2050: diviser par 4 nos émissions de gaz à effet de serre par rapport au niveau de 1990, diviser par 2 notre consommation d’énergie et atteindre la neutralité carbone tout cela avec une population qui augmente et une consommation qui a tendance à augmenter.

Néanmoins, nous sommes arrivés à une amélioration de notre efficacité énergétique depuis 1990 de 40 % (avec par exemple des appareils moins gourmands en énergie). Dans le même temps, la diminution des gaz à effet de serre n’a été que de 14 %.

Il est donc urgent de travailler sur notre sobriété énergétique

Aujourd’hui, une personne achète 60 % de plus d’habits et les garde moitié moins qu’en 2002.

Un ménage dispose en moyenne de 99 équipements électriques ou électroniques.

En 2017, l’aviation mondiale a transporté 4 milliards de passagers, 3 fois plus qu’en 2000, l’avion étant le mode de transport le plus polluant.

En France, 7 millions de logements sont classés F ou G en catégorie énergétique (passoire énergétique car impossible à chauffer l’hiver). 

Il est important de réfléchir et d’éduquer sur la notion de besoins et sur la différence entre ces besoins et les habitudes imposées par des normes sociales.

Parvenir à sortir du nucléaire, c’est travailler sur l’efficacité, la sobriété et les énergies renouvelables. La sobriété énergétique est trop peu abordée.

Il faudrait que chacun réfléchisse à une action qu’il pourrait avoir sur quatre aspects de sa vie : son habitat, son alimentation, ses transports et sa consommation générale.

Dans l’idéal, on pourrait même voir à mettre en oeuvre une action individuelle et une action collective.

Toutefois, devenir plus sobre énergétiquement n’est possible que si on accepte de changer des habitudes profondément ancrées. (Réf. Sébastien Bellet)


Les 16 objections les plus fréquentes à la transition énergétique vers 100 % d’énergies renouvelables

1. On ne peut pas se passer du nucléaire.

2.  On va être obligé de rouvrir des centrales au charbon comme en Allemagne.

3. Oui, mais les éoliennes blessent ou tuent des animaux (oiseaux, chauve-souris…) et perturbent la biodiversité.

4. On ne peut quand même pas avoir des éoliennes partout sur le territoire (Ça détruit le paysage et ce n’est pas esthétique).

5. Les grands parcs éoliens peuvent aussi participer à la destruction de parcs naturels ou participer à la destruction d’environnements.

6. Les panneaux photovoltaïques sont produits en Chine ce qui cause de la pollution (transport).

7. La France n’est pas capable de mener des projets d’énergie renouvelable (Réf : Projet d’hydrolienne au raz Blanchard dans la Manche).

8. Les éoliennes et les panneaux photovoltaïques n’assurent pas une production d’énergie électrique constante

9. L’électricité ne peut être stockée d’où l’intérêt du nucléaire car la production peut être contrôlée en fonction de la consommation ce qui n’est pas le cas pour le renouvelable.

10. La fusion nucléaire, nucléaire de l’avenir, est propre et ne produit pas de déchets nucléaires.

11. Le nucléaire n’émet pas de Gaz à Effet de Serre (GES).

12. Les panneaux photovoltaïques et les éoliennes utilisent des terres rares

13. Ce qu’il faut, c’est diminuer la consommation d’électricité, et ça on en n’est pas capable.

14. Si on supprime le nucléaire, cela impliquera le chômage des salariés du nucléaire.

15. On exporte aujourd’hui notre électricité.

16. Il se peut que vous ayez une autre remarque.

Outre le fait que le démentèlement des centrales sera source d’emplois pour certains, il est évident que la création d’emplois du fait de la transition énergétique sera massive. L’Ademe parle de 900.000 emplois créés d’ici 2050. 

Il est important toutefois de veiller à ce que ces emplois correspondent aux territoires avec des pertes d’emplois dans le nucléaire. 

Il est crucial de penser cette transition bien en amont et d’accompagner la reconversion des travailleurs, non seulement des salariés des centrales mais aussi de toute la chaîne de sous-traitance et des territoires concernés. Toute l’économie locale pourrait être déstabiliser si la transition n’était pas réalisée correctement. 

Même sans parler de transition, le seul vieillissement de certains réacteurs nous force à organiser le devenir des salariés directs et indirects actuels. Les gouvernements successifs semblent s’y refuser.

On pourra toutefois se réjouir que des dizaines de milliers d’intérimaires sortent du secteur du travail sous radiation.


Les 16 objections les plus fréquentes à la transition énergétique vers 100 % d’énergies renouvelables

1. On ne peut pas se passer du nucléaire.

2.  On va être obligé de rouvrir des centrales au charbon comme en Allemagne.

3. Oui, mais les éoliennes blessent ou tuent des animaux (oiseaux, chauve-souris…) et perturbent la biodiversité.

4. On ne peut quand même pas avoir des éoliennes partout sur le territoire (Ça détruit le paysage et ce n’est pas esthétique).

5. Les grands parcs éoliens peuvent aussi participer à la destruction de parcs naturels ou participer à la destruction d’environnements.

6. Les panneaux photovoltaïques sont produits en Chine ce qui cause de la pollution (transport).

7. La France n’est pas capable de mener des projets d’énergie renouvelable (Réf : Projet d’hydrolienne au raz Blanchard dans la Manche).

8. Les éoliennes et les panneaux photovoltaïques n’assurent pas une production d’énergie électrique constante

9. L’électricité ne peut être stockée d’où l’intérêt du nucléaire car la production peut être contrôlée en fonction de la consommation ce qui n’est pas le cas pour le renouvelable.

10. La fusion nucléaire, nucléaire de l’avenir, est propre et ne produit pas de déchets nucléaires.

11. Le nucléaire n’émet pas de Gaz à Effet de Serre (GES).

12. Les panneaux photovoltaïques et les éoliennes utilisent des terres rares

13. Ce qu’il faut, c’est diminuer la consommation d’électricité, et ça on en n’est pas capable.

14. Si on supprime le nucléaire, cela impliquera le chômage des salariés du nucléaire.

15. On exporte aujourd’hui notre électricité.

16. Il se peut que vous ayez une autre remarque.