Le tableau de Mendeleïeff

Un atome est une agglomération compacte de protons de charge électrique positive et de neutrons de charge électrique neutre – cet agglomérat constituant le noyau de l’atome – autour de laquelle circulent des électrons de charge électrique négative. Le numéro atomique d’un élément représente le nombre de protons de l’atome.

Le tableau de Mendeleïeff  – ou tableau périodique des éléments – représente tous les élément chimiques en les classant par numéro atomique croissant et en les organisant en fonction de leur configuration électronique.

Parmi ces 118 éléments chimiques, 24 sont dits synthétiques parce qu’ils n’existent pas naturellement dans notre environnement terrestre et sont produits artificiellement dans les réacteurs nucléaires ou expérimentalement en laboratoire. Mais les réacteurs nucléaires produisent aussi des éléments radioactifs existant dans la nature. Dans leur grande majorité cependant, les éléments radioactifs créés dans les centrales nucléaires ne sont pas présents dans la nature. Les organismes vivants n’y ont pas été confrontés au cours de leur évolution et n’ont donc pu s’y adapter.

Qu’est-ce qu’un isotope?

Un même élément chimique se décline en plusieurs variétés, appelées ≪ isotopes ≫.

Ce terme signifie étymologiquement: ≪ même place ≫. Ce sont des éléments chimiques situés au même endroit dans le tableau de Mendeleieff. Ils ont même numéro atomique mais poids atomique différent. En d’autres termes, ils ont le même nombre d’électrons extérieurs, mais leurs noyaux n’ont pas le même nombre de neutrons.

Ces isotopes sont de deux types: ils sont stables, ou radioactifs auquel cas ils sont appelés ≪ radionucléides ≫ ou « radioisotopes ».

Exemples:

L’hydrogène a un isotope stable – le Deuterium – et un isotope radioactif – le Tritium.

Le sodium comprend 20 isotopes, dont un seul stable (le seul qui existe à l’état naturel). Tous les autres ont été synthétisés lors de réactions atomiques. 

Quand ils se désintègrent, les isotopes radioactifs se transforment soit en d’autres radionucléides qui se désintègrent à leur tour; soit en isotopes stables, ce qui met fin aux désintégrations.

La « période radioactive » ou « demi-vie physique»

 C’est la durée nécessaire pour que la moitié des atomes d’un isotope radioactif se désintègre. En d’autres termes, c’est le temps nécessaire pour que l’isotope radioactif perde la moitié de sa radioactivité. 

Mais ATTENTION: il ne suffit pas de la multiplier par deux pour avoir la durée de « vie » totale du radionucléide.

Exemple: l’Iode-131 a une période de 8,02 jours. Cela signifie qu’au bout de 8 jours, la moitié de ses atomes s’est

désintégrée. Huit jours plus tard, la moitié des atomes restants s’est à son tour désintégrée, soit le quart. Huit jours plus

tard, la moitié du quart restant s’est désintégrée, soit le huitième. Etc… On n’est donc pas débarrassé de l’Iode-131 au

bout de deux semaines!

Quelques isotopes radioactifs et leur  période :

                                         Strontium-89                                      50,6 jours 

                                         Cesium-134                                         2,06 ans

                                         Plutonium-241                                   14,4 ans

                                         Strontium-90                                     29,12 ans                        

                                         Cesium-137                                         30 ans

                                         Plutonium-238                                  87,74 ans

                                         Plutonium-240                                  6.537 ans

                                         Plutonium-239                                  24.390 ans

                                         Neptunium-237                                 2,1 Millions d’années

                                          (principal déchet radioactif à vie longue)

Le Plutonium-239 perd la moitie de sa radioactivité en 24.390 ans. Puis le quart en 24.390 ans, le huitième en 24.390 ans, le seizième en 24.390 ans, et ainsi de suite…On dépasse les 100.000 ans!

Appliquez ce calcul au Neptunium-237…

Que se passe-t-il quand un réacteur explose?

Les premières vagues de gaz, fumées et nanoparticules radioactives s’en dégageant constituent le ≪ choc d’iode ≫, car ce sont les isotopes d’Iode qui y dominent d’abord.

Puis les isotopes du Césium deviennent dominants. Ensuite, radiocésium, Strontium et nanoparticules d’Uranium deviennent à leur tour dominants.

UNITES DE MESURE DE LA RADIOACTIVITE

Il faut distinguer deux types de mesure

1 – les mesures d’ACTIVITE radioactive

2 – les mesures de DOSES

 

UNITES DE MESURE D’ACTIVITE RADIOACTIVE:

1- Approche basique

Avant 1986, on utilisait le Curie [Ci] qui définit l’activité d’1g de radium.

Maintenant, on utilise le Becquerel [Bq] qui mesure l’activité d’une source radioactive opérant une transition nucléaire spontanée par seconde.

1Bq=1 désintégration d’1 atome par seconde

1Curie=37 Milliards de Becquerels

Le becquerel représente des activités tellement faibles qu’on emploie aussi ses multiples.

Gbq (GigaBecquerel) = 1 Milliard de Becquerels

Tbq (TetraBecquerel) = 1000 Milliards de Becquerels

 

2- Connaissances subsidiaires

Il y a des mesures d’activité en fonction de la masse, du volume ou de la surface de ce que l’on mesure.

Mesure d’activité massique:

Bq/Kg (désintégration par seconde par Kilo de matériau),

Bq/g      

Cela sert à mesurer l’activité d’un matériau, d’un aliment ou d’un objet.

Cette unité intervient dans les réglementations pour la protection des personnes.

Exemples de niveaux admissibles:

pour la teneur de Cesium 137 dans l’alimentation d’un enfant: 37 Bq/Kg, d’un adulte: 100 Bq/Kg

Mesure d’activite volumique:

Bq/m3 (désintégration par seconde par m3 de gaz),

Bq/cm3                                               

Bq/l (désintegration par seconde par litre de liquide)

Cela sert à mesurer l’activité d’un gaz ou d’un liquide.

Mesure d’activité surfacique: Bq/m2 (désintégration par seconde par m2 de surface), Ci/Km2

Cela sert à mesurer la contamination des sols.

 

3- Limites des mesures d’activité

Elles rendent seulement compte du nombre de désintégrations. Elles ne disent ni leur énergie ni leur effet sur l’homme.

Or, d’une part, la désintégration d’un atome ne libère pas la même énergie suivant le radioisotope * concerné. C’est ce que va exprimer la notion de « dose absorbée ».

*Un même élément chimique se décline en plusieurs variétés que l’on appelle « isotopes », certains stables, les autres radioactifs.

D’autre part, les rayonnements émis sont de natures très différentes et n’atteignent pas tous l’organisme de la même façon. C’est ce que va exprimer la notion de « dose équivalente ».

En outre, suivant les parties de l’organisme touchées par les rayonnements, les effets sont différents.

C’est ce que va exprimer la notion de « dose effective ».

Il faut donc d’autres unités de mesure pour évaluer l’impact sur les corps vivants. Ce sont les unités de doses.

 

TABLEAU RECAPITULATIF

Mesures d’activité et d’énergie déposée

Becquerel et multiples du Becquerel (désintegration/s)

Gray (J/kg)

On est là dans la mesure de quantités physiques mesurables.

Calculs de doses effectives ou efficaces

Sievert et sous-multiples du Sievert

On est là dans la quantification de phénomènes non mesurables, par des calculs fondés sur des facteurs d’évaluation.

 

Poursuivre sur les mesures de doses.

 

Sources

ASN

Wikipedia

Merci a Yves LENOIR pour ses corrections éclairées.

UNITES DE MESURE DE LA RADIOACTIVITE

Il faut distinguer deux types de mesure:

1 – les mesures d’ACTIVITE radioactive

2 – les mesures de DOSES

 

UNITES DE MESURE DE DOSES

1- Approche basique

Mesure de LA DOSE ABSORBEE

Il s’agit de mesurer la quantité de rayonnements absorbés par un organisme ou un objet exposés à ces rayonnements.

Jusqu’en 1986, on utilisait le Rad.

On utilise maintenant le Gray [Gy].

1 Gray = 1 Joule déposé pour 1 kilogramme de matière irradiée.

Le Joule est une unité de mesure du travail, de l’énergie et de la quantité de chaleur.

1 Gray = 100 Rads

Mesure de LA DOSE EQUIVALENTE:

Il s’agit de mesurer les effets biologiques d’une irradiation en fonction de la nature des rayonnements.

Jusqu’en 1986, on utilisait le Rem. 

On utilise maintenant le Sievert [Sv]. C’est l’unité qui rend compte de l’effet biologique de la dose absorbée. Ce n’est pas une quantité physique mesurable mais le résultat d’un calcul. On obtient la mesure en Sieverts en multipliant la dose absorbée par un facteur dont la valeur dépend de la nature du rayonnement.

xgrays x 1 pour les rayons X et les électrons

xGrays x 5 pour les protons

etc

Cette mesure intègre le fait qu’à doses absorbées égales, certains rayonnements sont plus dangereux que d’autres.

Mesure de la DOSE EFFECTIVE ou DOSE EFFICACE:

Il s’agit de mesurer les effets biologiques d’une irradiation en fonction des tissus concernés.

La ≪ dose équivalente ≫ doit être pondérée par un facteur de risque spécifique pour chaque tissu ou organe, car les différents éléments de notre organisme réagissent différemment aux différents types de rayonnements. On obtient alors la ≪ dose effective ≫ ou ≪ dose efficace ≫.

Cette dose effective s’exprime le plus souvent en milliSieverts [mSv].

Le facteur de pondération va de 0,01 pour le cerveau à 0,12 pour la moelle osseuse.

Cette mesure intègre le fait qu’à doses équivalentes égales, le risque varie selon les tissus atteints.

La DOSE EFFICACE CORPS-ENTIER est la somme des doses efficaces reçues par chaque organe.

Elle évalue donc – de façon indirecte- le risque pour la santé lié à la dose reçue. Ce risque est dit ≪ risque stochastique ≫. On dit aussi que les effets ≪ stochastiques ≫ sont les effets tardifs des rayonnements, dont la gravité est indépendante de la dose mais dont la probabilité d’occurrence croît avec celle-ci.

PETIT SCHEMA ANALOGIQUE (APPROXIMATIF)

A lance des pierres sur B.

Le nombre de pierres envoyées par A = l’activité , mesurée en Bq

Le nombre de pierres reçues par B x l’énergie cinétique des pierres = la dose absorbée, mesurée en Gy

Les marques et blessures sur le corps de B, selon la lourdeur et la forme des pierres, et selon les parties du corps plus

ou moins sensibles = la dose effective calculée à partir de la dose équivalente, mesurées en Sv et mSv

Exemples de doses ≪ en cours ≫:

irradiation moyenne en France = 2 mSv/an

dose annuelle admissible légale = 1mSv/an

La dose qui tue 50% de ceux qui la reçoivent = 5 Sv

2- Connaissances subsidiaires:

On parle aussi de mesures de DEBIT DE DOSE:

Le débit de dose est le rapport entre la dose radioactive et la durée d’exposition.

Le débit de dose absorbée se mesure en Grays par seconde [Gy/s]

Le débit de dose efficace se mesure en Sievert par seconde [Sv/s] ou Sievert par heure [Sv/h]

C’est ce qu’on appelle en langage courant ≪ niveau de radioactivité »

La mesure d’EXPOSITION:

Il s’agit d’établir le rapport entre l’énergie déposée dans un élément et la masse de cet élément.

La mesure de TAUX DE COMPTAGE:

Un détecteur – un compteur Geiger par exemple – ne mesure pas une activité, mais seulement le

nombre de désintégrations qu’il parvient à observer en un temps donne.

Il faut opérer ensuite une conversion grâce à des calculs compliqués pour se faire une idée de la

radioactivité réelle…

TABLEAU RECAPITULATIF

Mesures d’activité et d’énergie déposée : Becquerel et multiples du Becquerel (désintegration/s)

Gray (J/kg)

On est là dans la mesure de quantités physiques mesurables.

Calculs de doses effectives ou efficaces : Sievert et sous-multiples du Sievert

On est là dans la quantification de phénomènes non mesurables, par des calculs fondés sur des

facteurs d’évaluation.

 

Sources:

Site de l’ASN

Wikipedia

Merci a Yves LENOIR pour ses corrections éclairées.

Eau, Air, Feu, Terre… Les 4 Fantastiques’ s’expose à l’hôtel de Ville de Rouen jusqu’au 2 juillet !

L’exposition ‘Eau, Air, Feu, Terre… Les 4 Fantastiques’ nous interroge sur notre rapport à l’énergie. Elle sera ouverte au public jusqu’au 2 juillet dans la galerie du premier étage de l’hôtel de ville.
Composée de sculptures, dessins, peintures, photographies, et collages, elle nous emporte dans un voyage autour du monde.

L’exposition préfigure ‘la Grande Marche’ de la Hague à Paris qui aura lieu cet été du 24 juillet au 25 août pour un débat sur le nucléaire et la transition énergétique avec plus d’une trentaine de conférences sur tout le territoire normand.

Trois petites filles de François Compagnon

Trois petites filles de François Compagnon

Le mot du maire
‘L’initiative citoyenne ‘La Grande Marche’ et la Ville de Rouen s’associent pour une exposition inédite en faveur de la transition énergétique. Au travers des oeuvres exposées dans les galleries de l’Hôtel de Ville (peintures, sculptures, dessins, photos…), les citoyens sont invités à remettre en question leur rapport à l’énergie.
L’exposition interroge en effet les rapports de l’homme à l’énergie, et montrent les conséquences négatives que peut engendrer le surexploitation des ressources naturelles. Ces oeuvres dénoncent certaines de nos pratiques au quotidien. Il est aussi question de l’avenir de notre mix énergétique, et du monde que nous voulons pour demain. Entre progrès et destruction, l’Homme entretient un rapport complexe à l’énergie, à la fois source d’émancipation et de condamnation.
La ‘Grande Marche‘ et la ville de Rouen vous attendent nombreux et nombreuses à cette exposition au coeur de l’actualité ! Utilisons l’intelligence collective pour faire de Rouen la capitale du monde d’après, pionnière et modèle de la transition social-écologique.’
Nicolas Mayer Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie
Jean Michel Bérégovoy, Adjoint au Maire en charge de la Ville résilience et de la transition énergétique
Artistes présents à l’exposition : Antoine Bernollin, François Compagnon, Michel Lagrange, Peter Larsen, Anoush Morales, Roland Moulin, Philippe Olive, Lou Parisot, Véronique Pigné, Enfants de Tchernobyl Belarus, URL Fighters et Vagabonds de l’Energie

Contactez-nous si vous souhaitez des affiches pour coller autour de chez vous, dans les lieux qui vous portent et vous entourent !

Nos flyers sont là pour annoncer la marche de cet été. N’hésitez pas à nous en demander pour les distribuer, à les imprimer vous même ou à les envoyer à ceux de vos contacts que vous pensez intéressés , qu’ils soient convaincus, juste curieux ou prêts à la discussion sur le sujet!

 

Ce samedi 13 mars à Rouen à 14h30, un rassemblement se tiendra place de la Cathédrale afin de manifester pour une sortie du nucléaire et contre la mise en service de l’EPR de Flamanville et la construction d’EPRs à Penly. Voici le lien sur l’événement Facebook.  https://www.facebook.com/events/185495969614803/
Des covoiturages seront organisés pour cet événement. N’hésitez pas à nous envoyer des mails pour cela. nucleaireenquestions@gmail.com
D’autres événements auront lieu le 13 mars à Carentan, à Flamanville, au Havre, à Nantes et partout en France. Si vous souhaitez voir la liste complète des événements organisés pour cette semaine particulière de l’anniversaire de Fukushima, vous pouvez vous rendre sur la page du réseau Sortir du Nucléaire.
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Mis à jour du 14 mars
Ci-après l’allocution de Béatrice Hovnanian pour Nucléaire en Questions au rassemblement:
On est ici, rassembler à Rouen pour le triste anniversaire de Fukushima parce que l’heure est grave.
– Des centrales vieillissantes
– Un EPR en construction dont on doit encore refaire des soudures quasi inatteignables, et dont le couvercle devra être changé en 2024
– Un centre de retraitement à La Hague qui fuit, dont les piscines sont pleines à rabord et pour lequel la seule solution qu’on est trouvé est de reconstruire une nouvelle piscine géante
Tous les indicateurs sont au rouge.
La proposition d’EDF en faillite et de l’état Français est celle de la fuite en avant, celle de reconstruire de nouveaux EPRs. Et comme ces petites bêtes aiment bien l’eau froide de la Manche, c’est ici en Normandie qu’on aimerait les installer.
La Normandie est déjà une des régions les plus nucléarisées au monde.
Parler de la transition énergétique, c’est accepter de s’engager dans un débat technique, économique et philosophique. Mais sortir du nucléaire, c’est possible. Les solutions existent. Oui, il faut soupeser ces solutions et accepter que si l’homme ou la femme providentiel n’existe pas, la solution miracle de l’énergie n’existe pas non plus. Mais il nous faut accepter cette complexité et aller de l’avant.
Il est possible de sortir du nucléaire, tout en créant des emplois. Il est possible de sortir du nucléaire tout en garantissant une énergie bas carbone.
Mais pour cela, il faut le vouloir et aller de l’avant.
Trop nombreux sont ceux qui sont prêts à accepter le nucléaire parce qu’il ne voit dans les solutions que les difficultés qu’elles posent. Les solutions sont complexes, mais elles existent.
Et refuser cette complexité, c’est accepter de faire comme avant, de ne rien changer.
Or aujourd’hui, on ne peut plus faire courir aux Normands, à la France, le risque inutile d’une catastrophe. Nous ne pouvons plus accepter de polluer pour des centaines de milliers d’années à chaque fois qu’on allume une ampoule.
Cet été, avec Nucléaire en Questions, nous marcherons de La Hague à Paris du 24 juillet au 25 août pour discuter, pour prendre le temps de comprendre les différents enjeux avec 31 conférences proposées pour débattre du nucléaire et de la transition énergétique. Vous êtes les bienvenus pour nous rejoindre, pour venir marcher avec nous.
Plus que jamais, il nous faut changer d’énergie, changer de système, mais nous ne pourrons le faire que si nous sommes tous unis, citoyens, associatifs, politiques. Cet été, nous marcherons ensemble, unis dans ce but de permettre à tous de s’approprier ces solutions.
Il nous faut sortir du nucléaire. L’état français voudrait nous y réengager pour 80 ans.
La sortie du nucléaire doit se faire maintenant, car on ne peut plus engager la santé de nos enfants, des générations futures, et des espèces qui habitent notre terre.
Ce jeudi 11 mars à 16h, nous vous invitons à Tandem, 8 rue Nicolas Oresme, en extérieur pour le vernissage de notre exposition ‘Eau, air, feu, terre… Les 4 Fantastiques‘.
Le vernissage aura aussi lieu en ligne sur notre page Facebook.
Les quatre éléments tels quatre super héros. Des super héros avec la force, la puissance requise pour sauver l’humanité. Toutefois, traditionnellement, dans le récit des super héros, ceux-ci ne peuvent immédiatement user efficacement de leurs pleins pouvoirs.
Cette exposition, faite de sculptures, de peintures, de dessins, de photos est une réflexion par rapport à l’être humain et à l’énergie. Elle inclut des dessins d’enfants de Tchernobyl. Elle se veut comme une autre manière d’appréhender le discours autour de l’énergie, d’inciter au dialogue.
L’exposition sera visible du 8 au 20 mars à Tandem, 8 rue Nicolas Oresme.
Voici le lien de l’événement Facebook https://www.facebook.com/events/749578552430289
Triste Anniversaire : 10 ans d’anormalité à Fukushima?
David Boilley – Président de l’Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l’Ouest (ACRO)
Peut-on faire autrement?
Julien Frémond – Les Sept Vents
Dix ans après la catastrophe de Fukushima, une conférence pour revenir sur ce qui a été fait depuis l’accident et sur la manière dont est alors ‘géré’ le nucléaire et la vie qu’elle influe.
Nous nous poserons aussi la question des alternatives au nucléaire.
Sur 1h30, nous passerons 1 heure à répondre au débat. Venez avec vos questions, vos doutes.